Pendant trois ans, Jean-Michel Bertrand a séjourné en montagne avec l’envie de filmer les loups. Il en a fait un film.
Un film d’aventure très captivant. Ce film ne vous présentera pas des scènes de brutalités ou encore de sexe. Cependant, vous pourrez aller suivre ce film intitulé La Vallée des loups en famille dès le 4 janvier.
Un film attachant et charmant.
Ce film riche comporte des scènes impressionnantes qui font du bien et qui vous transportent dans une aventure où vous visitez avec le réalisateur un endroit rempli d’espoir. Vous découvrez les différentes scènes, revivez les joies et les problèmes. Bertrand vous place dans la position d’un acteur de cette aventure.
« Je me demande pourquoi je voulais vraiment filmer les loups. C’est assez personnel. J’ai toujours été passionné par les animaux. A mon avis, le loup était l’allégation magnifique pour entrer dans le monde naturel. J’ai débuté le tournage en mars 2013, au mois de juin un loup j’ai vu un loup de près. Ce qui représentait un signe pour moi.
Aidé par ses pairs
Pour capturer les scènes qui l’intéressaient, le réalisateur a dû attendre longtemps. Ça suffisait pour que la bête soit présente et l’appelle à être patient. En fait, après avoir vu le loup rapidement pour la première fois, celui-ci s’est caché pendant un bon bout de temps.
Cependant, Jean-Michel Bertrand a pu trouver le moyen de voir le loup, en effectuant plusieurs allés et retours en passant par les sapins de cette vallée avec des caméras qui se déclenchent automatiquement. Il utilisé des caméras sophistiquées. Ce sont de bons appareils qui permettent de capter des scènes uniques et une source de suspens car cela permet de découvrir le réalisateur et de savoir ce que les appareils ont pu capté que ce soit la nuit ou la journée. Ce peut être une martre qui se retrouve en face d’un renard et afficher sa contrariété, un troupeau de cerfs, un sanglier…
Il faut dire que le réalisateur n’a pas utilisé plusieurs appareils pour réaliser ce film. Jean Michel Bertrand a réalisé un film de lui tout seul, ensuite, il s’est fait aider par proche à lui, la chef-opératrice (Marie Amiguet) et Boris Jollivet, ingénieur qui lui ont permis de réaliser des captures de plans et éléments sonores afin de capter un récit plus cinématographique.